Beurck, Ça Jamais, Ou ?
Bonjour, bonjour. Oui, oui mdame aussi au 3è. On est voisins. Lascenseur monte.
Non, rendez vous compte? Il suffit que mon mec touche la chatte de la voisine, ici même, - et cest la mienne qui coule. Ce nest pas le monde à lenvers ?
Il me rend cinglé ce con, quand il baluche et déballe ses nibards devant moi dans lascenseur, je pourrais grimper aux murs.
Mes atouts avancés, -en plus-, il me repousse
ce conard ! Là, là cest la chute du Niagara
même avec deux mains, je narrive plus retenir le courant deffluve de ma tirelire.
Arrivé à létage, devant mon palier, je les tire de force à lintérieur. Jaime quil lui roule une pelle, encore la porte entrouverte.
Je sais, si je tente de mavancer, il me choute dans un coin. Ça na pas raté ! Mais je me relève. Je réattaque, quitte à prendre une giflée, je men fou.
Je veux quil sen prenne à cette pétasse, quil lui gratte les cordes de son violoncelle je pète la forme
Je suis là pour monter lentrain.
Je lui arrache son short, sort sa troisième guibolle raidie, je bâillonne la pétasse. Je clamse sa tige et la plonge dans son fourreau. Ça me fais inonder le sol, je men fou.
Tu vas la cingler pétard, hein ? Cuillère-la ! Allez ! Allez-vous enfin beurrer !
Oh, oh, je suis
.ouh,
regardez voir comment il bouffe sa clapette,
je suis en extase, je me la cramouille
schliff-schloffa
je menfourne ma main
Mon mec massigne une fessé. Brutal comme je laime. Je joui de la claque, jen demande encore
il me laccorde. Quel pied ! Je remue mes muqueuses, je les ai bien en main, racle ma matrice.
La pétasse gueule du plaisir, aucune trace de la saint ni touche. Pardi elle reprend pied ! Jose mattaquer au fion de mon mec. Jéchappe à une claque, puis il se joue alternant sur mon index et majeur. On-off, plus violant. Jadore lenculer. Jadministre les mêmes faveurs à la pétasse. Jouvre son cul. Elle miaule. Bien fait pour ta gueule.
Mon mec me mord le cou, tape sur mes nichons, les faits baladés. Jadore. Il change le trou trifouillé par moi, je lui fiste sa moule, elle me rend pareil. Son colon lui fait couiner. Cest elle qui me fou une baffe de lautre main. Ça chauffe. Jadore.
Coup de pied à la porte. On fait trop de bruit. Pas besoin de pompier, la lance dincendie est en route. Je suis fière de mon mec. Il a déposé sa charge à ses entrailles, il se fait nettoyer sa bite, il labour sa bouche. Elle bave.
Cest joli. Il la jette parterre et il me mitraille ma clarinette. Je marrache les orifices de la pétasse, pour jouer le clavecin avec. Elle veut encore. Je donne tout.
Je garde lamarrage du gourdin de mon mec, il me pilonne mon ventre. Ça clapote partout. Jaime quand ça fait du bruit. La pétasse doit partir, faire la bouffe pour son mari. Elle va revenir après. Elle veut continuer à se faire saucisser son trou de balle. Moi je vais lui brouter sa chatte. Réciproquement évidemment. Elle à de quoi à sabreuver avec mienne.
Une petite trêve simpose. Les sandwichs sont prêts. Pour favoriser ma digestion, je massois emmanché à table. Mon fion a ses habitudes, suffit de remuer un peu le cul pour sentir la tigette foreur de mon mec
faire de la place
Buf !
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